
Le sujet nous passionne, nous excite, nous pousse à l’extase mais attention l’IA a aussi ses limites car elle reste une œuvre de l’esprit. Sur les moteurs de recherche, en terme de référencement naturel (SEO) et de référencement payant (SEA), les entreprises se positionnent pour avoir les mots clés de longue traîne. L’IA est le nouveau puit des marques. Dans cette cacophonie, l’UNESCO souhaite mettre en place un arsenal juridique basé sur une éthique de l’Intelligence Artificielle pour éviter les débordements.
L’Intelligence Artificielle est au cœur de la 4ème révolution industrielle et contribuera à créer 3,3 millions d’emplois supplémentaires. C’est pourquoi l’UNESCO dans sa politique d’avant-gardiste se pose les questions suivantes :
Ne faudrait-il pas élaborer une recommandation générale sur l’éthique de l’Intelligence Artificielle ?
Une IA centrée sur l’humain, servant l’intérêt des populations et bien cadrée n’est-elle pas préférable à celle qui dévalorise l’humain ?
L’Intelligence Artificielle nous plonge dans l’univers passionnant de la High-tech et présente d’énormes avantages mais attention le risque réside dans son utilisation malveillante par certaines entreprises ou tiers et qui va augmenter le taux de clivage, de racisme et d’inégalités sociales.
Certes, l’Intelligence Artificielle contribuera à la création d’emplois dans des secteurs clés de l’économie mais encore une fois ne faudrait-elle pas l’humaniser ? Ainsi réside tout l’enjeu fondamental de notre siècle.
IBRAHIMA TRAORE/Rédacteur SEO